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Avatar von Ulrich K Rößler

Das Thema Durst erscheint mir sehr genau ausgearbeit mit einer echten Steigerung: von der ersten Sorge - Nicht genug Wasser dabei! - dann Rationierung und letzte Vorräte verbraucht, bis jetzt zur Krise und Verlust der Hoffnung dann Einsetzen des Deliriums bei Axel. In diesem Kapitel erscheinen alle drei Helden für mich zum ersten Mal als sehr glaubhafte Figuren mit auch individueller Antwort auf ihre verzweifelte Lage.

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Die petrographische Beschreibung in diesem Kapitel - im Original :

>>À travers l’étage des schistes, colorés de belles nuances vertes, serpentaient des filons métalliques de cuivre, de manganèse avec quelques traces de platine et d’or. Je songeais à ces richesses enfouies dans les entrailles du globe et dont l’avide humanité n’aura jamais la jouissance ! Ces trésors, les bouleversements des premiers jours les ont enterrés à de telles profondeurs, que ni la pioche ni le pic ne sauront les arracher à leur tombeau. <<<

und dann später >> La lumière des appareils, répercutée par les petites facettes de la masse rocheuse, croisait ses jets de feu sous tous les angles, et je m’imaginais voyager à travers un diamant creux, dans lequel les rayons se brisaient en mille éblouissements.<<

enthält wohl gewisse Echos der Erzählung _Laura, voyage dans le cristal_ von George Sand.

Dort beschwört zum Beispiel der Mitstudent Walter den Erzählers, nachdem dessen Wanderung mit Laura durch eine Amethystgeode jäh durch 'cent million de tonerres' (hundert Millionen Donner) abgebrochen wurde und mit blutiger Stirne vor der Vitrine im Mineralienkabinett endete, er möge einsehen, dass dieses Erlebnis nur ein Fiebertraum gewesen sei und außerdem seien diese ganzen Juwelen und Schmucksteine nur hübsch aber wertlos - ganz im Gegensatz zum Torf :

>> 'Oublie tes pics de diamant, le diamant n' est qu'un peu de carbone cristallisé. La houille est cent fois plus précieuse, et en raison de son utilité, je la trouve plus belle que le diamant n'est beau. Rapelle-toi ce que je te disais, Alexis : la pioche, l' enclume , la sonde, le pic et le marteau, voilà les plus brillants joyaux et les plus respectables force du raisonnement humain !'

J'écoutais parler Walter, et mon imagination surexcitée le suivait dans la profondeur des excavations souterraines. Je voyais es reflets de torche illuminant tout à coup les veines d'or courant dans les flancs du quartz couleur de rouille ; j'entendais les voix rauques des mineurs s'engouffrant dans les galeries du fer ou dans les salles du cuivre, et leurs lourdes masses d'acier s'abattant sans merci avec une rage brutale sur les plus ingénieux produits du travail mystérieux des siècles.<<

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